• Réponses au questionnaire : mercredi 10 mars .

     

    A la demande des deux candidats, nous avons reporté au mardi 9 mars, fin de soirée, la date butoir de livraison de leurs réponses au questionnaire regroupant les interrogations et les attentes d’une grande partie des résidents du hameau.

    Soucieux d’accorder à cette démarche, initiée par Philippe Le Grand (lire les précédentes chroniques), je me dois de préciser la manière dont, après concertation entre nous deux, nous avons décidé de mener cette démarche jusqu’au bout dans toute l’impartialité requise. Si je parle en mon nom seul, cela tient au fait que c’est à moi que revient la charge de mettre en ligne les questions et les réponses

    Pour ne pas encourir un éventuel reproche, laissant supposer une éventuelle intervention de ma part sur telle ou telle réponse, pouvant ainsi en dénaturer le sens, nous avons demandé à Henri Paranthoën et Marcel Turuban de transmettre leurs réponses de telle manière que je ne puisse procéder que par un copier coller.

     La seule modification qu’il me faudra apporter sera d’inscrire en bout de ligne leurs noms.

     

    46 questions….92 réponses

     

    Pour faciliter la lecture d’un document qui va comprendre 46 questions donc, a priori, 92 réponses, la méthode retenue est la suivante : une question, deux réponses et ainsi de suite jusque les deux dernières réponses. Là encore, nous avons, Philippe Le Grand et moi-même, tenu à agir dans la règle stricte de l’équité. 

    Samedi matin, devant la grille de la chapelle, nous avons procédé à un tirage au sort, par pile ou face, de l’ordre de positionnement des réponses, en présence de Jean-Pierre Rougié qui défend, comme vous le savez, les couleurs de Marcel Turuban. C’est Jean-Pierre lui-même qui a fait tourner la pièce. Il avait choisi face pour Marcel Turuban. C’est pile qui est sorti. Au grand dam de Henri…grand duc du Luxembourg qui s’est retrouvé face contre terre.

     

     

    Réponse au questionnaire : mercredi 10 mars  .

     

    Pour la petite histoire, ce duc, né en 1955,  a succédé à son père Jean, celui-ci ayant abdiqué à l’orée du nouveau siècle, en l’an 2000. C’est son effigie qui, à la demande de son père, est gravée sur la monnaie européenne évoquant son pays, en l’occurrence sur une pièce de 20 cent. Et si cela vous a échappé (comme à moi-même) le nom du pays des Luxembourgeois s’écrit ainsi : Lëtzebuerg. Passons !

     

    A chaque question, ses réponses

     

    Donc après chaque question, ce sera la réponse d’Henri Paranthoën qui sera publiée en premier, suivra celle de Marcel Turuban. Compte tenu du nombre important de questions, il nous a paru utile de s’en tenir à cet ordre jusqu’aux deux dernières réponses.

    Jean-Pierre Rougié ayant fait remarquer que l’équité la plus parfaite aurait été de pouvoir présenter, chaque fois, les réponses en face à face dans un tableau, je lui ai fait part de mon regret de ne pas en avoir le moyen, ni techniquement, ni en temps. D’autant plus que les deux candidats ont entière liberté pour conduire leurs réponses comme ils l’entendent, notamment sur le plan de la longueur.

     

    Commentaires automatiquement supprimés

     

    Toujours dans l’esprit de maintenir cette impartialité jusque l’aboutissement de cette initiative citoyenne, je tiens à souligner le point suivant :

    Il se peut que suite à cette mise en ligne, certains lecteurs en viennent à réagir par le biais des commentaires que l’on peut, sans barrière technique, inscrire directement sur le blog. Le maintien de ces commentaires contreviendrait à nuire à cette impartialité. Aussi, tout commentaire, fût-il riche de suggestions pour les deux candidats, sera automatiquement supprimé. Je ne puis inviter les Kermoustériens et autres Lézardriviens qui voudraient se faire entendre jusque la clôture de la campagne électorale, à se saisir directement des supports numériques des deux listes en présence.

    Pour Philippe Le Grand et pour moi-même, il est clair que ce questionnaire-réponses tel qu’il va être mis en ligne ne peut se prolonger par le maintien d’éventuels commentaires. Si débat contradictoire il doit y avoir, celui-ci ne peut se dérouler que sur les plateformes numériques des candidats à nos suffrages.

     

                                                                                                                                               Claude Tarin

                                                                                                                                   Lundi 8 mars 2021

     

    Le virus Nico

     

    Je ne viens pas ce jour rompre le pacte que j’ai établi avec vous, de conserve avec Philippe Le Grand. Le propos ci avant doit vous rassurer. Nous ferons preuve d’impartialité jusqu’au bout. Pour autant, ce serait une faute morale de ne pas donner suite à une affaire qui, par le biais de ce blog, a atteint une personne dans son honneur et son intégrité. J’ai nommé Nicolas Lescouarc'h.

    Si vous n’avez pas lu les commentaires de la précédente chronique, je vous invite à le faire, mais cela ne suffira pas à vous donner toutes les clefs d’appréciation de cette regrettable affaire qui a eu pour effet, par la voie du « téléphone arabe », de jeter le discrédit sur un homme, un ami, qui mérite notre entière confiance.

    La précédente chronique intitulée La Lettre et le Questionnaire a donné lieu à un certain nombre de commentaires, la plupart sous pseudonymes, mais pseudos dont je connais précisément l’identité des personnes qui les portent. Parmi ces commentateurs, un certain Nico, quant à lui totalement inconnu. Ce dernier manifeste la fâcheuse tendance à avancer des arguments à la manière d’un couperet. Ce qui lui a valu une réponse argumentée et justifiée de la part de Jean-Pierre Rougié.

    Les choses auraient pu en rester là, si le dénommé Nico n’était pas revenu à la charge en comparant à un maire ayant défrayé la chronique , non pas Jean-Pierre Rougié comme la rumeur va être amenée à le penser haut et fort, mais Marcel Turuban lui-même. Ayant repéré, hélas une heure plus tard après sa mise en ligne, le contenu litigieux de son nouveau message, je me suis empressé de le supprimer en espérant qu’à cette heure tardive de la journée je serais le seul à avoir pu lire un propos inadmissible.   

    Bien qu’ayant aussitôt mis un commentaire pour expliquer la suppression de cette injure caractérisée, le mal était fait. Certains Kermoustériens étaient allés se coucher sans voir ce rectificatif,  avec l’idée qu’il y avait des gens capables d’en arriver là, malheureux qu’ils étaient de voir que l’on puisse en arriver à traiter de cette façon un candidat à nos suffrages.

    Ce n’est que le lendemain matin que j’ai pu constater l’émoi que ce Nico avait provoqué dans le hameau. Avec pour conséquence néfaste d’en arriver à faire un rapprochement entre Nico et Nicolas Lescouarc'h. Il aura fallu que cette rumeur parvienne jusqu’aux oreilles de notre infortuné ami et que celui-ci affirme sur son honneur ne pas être l’auteur de ce propos, pour que le jeu se calme. L’est-il totalement à cette heure ? On ne gomme pas facilement les effets nauséabonds d’une rumeur.  C’est parce que je crois qu’elle continue à courir qu’il me faut poursuivre.

    Inadmissible, injurieux, je l’ai dit et je le répète, le propos tenu l’était. Mais peut-on penser une seconde que notre ami Nicolas n’aurait pas trouvé mieux que de prendre les quatre premières lettres de son nom pour se camoufler sous un pseudonyme ?

    Ce n’est pas parce qu’ il lui faut présentement faire face à d’importantes priorités professionnelles, ce qui l'a amené à ne pas se représenter,  que Nicolas Lescouarc'h en a fini avec la règle qu’il s’est imposé avant et après l’élection annulée. Nicolas, sur ce blog comme sur des sites de beaucoup moins ouverts aux idées qu’il a défendues, a toujours, quant à lui, avancé à visage découvert. Qu’il se rassure, je ne suis pas le seul à lui accorder ma confiance et tout mon soutien.

    Alors qui est ce Nico qui souhaite implicitement vouloir le succès de la liste d’Henri Paranthoën ? S’il est véritablement hostile à Marcel Turuban, je ne peux que lui faire constater son imbécillité : une telle manière d’agir ne peut qu’être contreproductive.

    Mais ne serait-ce pas ce Nico qui, il y a un peu plus d’un an, en février dernier, alors que la campagne électorale qui allait conduire Henri Paranthoën et ses colistiers aux affaires n’avait pas encore démarré, me reprochait de véhiculer, dans mes humeurs du jour, l’idée que le dossier Cambuse, tel qu’il avait été mené, suscitait plus d’interrogations que d’adhésion. Ce ressenti est toujours d’actualité si je me réfère aux nombreuses questions que les Kermoustériens viennent de nous faire parvenir sur ce seul thème. A Marcel Turuban et à Henri Paranthoën, il me faut dire ici, même s’ils le savent bien, que ce bar épicerie devenu crêperie fédère bien des incompréhensions. A eux, et à eux seuls, de nous dire de quoi demain sera fait.

    Certes, la question serait légitime : comment pouvez vous jeter le doute sur quelqu’un qui souhaitait, et le souhaite très certainement encore, sauf à avoir viré sa cuti,  la victoire de celui qui a donné quitus pour ce projet ? A question légitime, je réponds par une autre question toute aussi légitime: iriez-vous jusqu’à affirmer qu’il est impossible que cette affaire soit le fruit d’un subtil stratagème ? En se faisant passer pour un soutien, tout en écrivant des propos injurieux sur l’adversaire on ne peut que renforcer le capital sympathie à l’adresse de ce dernier. Ni vu, ni connu ! Dans une période d’élections, il arrive parfois que des supporters peuvent s’autoriser à porter des coups bas de cette sorte.

    Si, lisant ses lignes, le Nico d’il y a un an se sent injustement atteint à son tour dans son intégrité qu’il nous le fasse savoir, mais à visage découvert cette fois. Qu’il sorte de l’ombre ! Qu’il se débarrasse de cette ombre qui ne le grandit pas !

    Car, au-delà de ce qui relève d’un fait anecdotique dans le cadre d’une élection municipale, c’est-à-dire ne mettant pas en péril la Nation, ce type de malfaisances qui irriguent les voies du numérique est un véritable cancer. Les dérives sous anonymat, liées à une parole non maîtrisée, souvent chargée de haine, qui se déversent sur ces réseaux que je n’aurai de cesse de considérer comme anti-sociaux,  sont mortifères.

    Ceux qui les tiennent n’ont guère le sens de l’honneur. On ne bafoue pas ainsi l’honneur d’un homme, fût-ce involontairement, ni l’intégrité d’un candidat. On peut le contester, s’y opposer, mais en ayant de courage de ne pas le faire sous un faux nez, à défaut, présentement, de ne pas pouvoir enlever le masque pour raisons sanitaires.

    Depuis que ce blog existe, je m’en suis tenu à la règle de la vérité des faits et au respect des personnes. Je m’honore d’avoir répondu positivement à la requête de Philippe Le Grand, bien que n’ayant absolument pas eu l’intention d’intervenir dans cette énième joute électorale.

    En le mettant ainsi au service des Kermoustériens, j’en recueille, ce jour, une réelle satisfaction. Ce blog rassemble, à un moment important de la vie du hameau, dans sa diversité. Je regrette que cette plateforme quasi confidentielle ait été atteinte par ce type de virus malfaisant.

    Retenez bien le propos liminaire à cette chronique : aucun commentaire ne sera accepté après la mise en ligne des engagements des deux candidats !

    C’est à vous et à vous seuls, en votre âme et conscience, de remplir votre devoir en citoyen. La prochaine chronique ne sera qu’une aide à la réflexion.

     

                                                                                                                                                             C.T.

                                                                                                   

    Et pourtant elle tourne!

     

    Réponse au questionnaire : mercredi 10 mars  .

     

    Je me dois de remercier une nouvelle fois Filipe Mota pour ces photos prises samedi matin au lever du jour. Nous pourrions presque diffuser quotidiennement un bulletin météo en se contentant de contempler la ronde des planètes. Mais que dis-je là ? Elles tournent ? Elles tournent ?  C’est oublier un peu vite ce que je viens de lire dans le journal, ce dimanche 7 mars.

    Je suis vraiment en dessous de tout pour quelqu’un qui prétend avoir un regard lucide sur ce monde. Les Terre-platistes sont de retour et je ne le savais pas. Il existe, aux dires du journal, des milliers de personnes qui accréditent l’idée que la Terre  n’est pas ronde, mais plate, on ne peut plus plate. Grâce aux progrès de la science, dont Internet en est un exemple, l’information est reprise en boucle.

    Galilée réveille toi ! Abjure à nouveau cette idée folle selon laquelle la Terre est ronde ! Que le Soleil, la Lune et les autres planètes, que l’homme a pu dénicher dans les fins fonds de l’espace, le soient, cela semble évident à l’oeil. Encore que, à bien y regarder ? Qu’est-ce qu’on voit passer au-dessus de nos têtes ? N’est-ce pas simplement deux disques, plats eux aussi ?

    A ceux qui pourraient, après voir lu la chronique ci-dessus, encore penser que je suis bien trop prompt à faire un plat avec ce qui relève de l’insignifiant, je ne peux que répondre : vigilance ! Vigilance !

    Les Terre-platistes ne sont qu’un exemple de ces nébuleuses complotistes qui se multiplient tels des virus et leurs variants. Saurons nous collectivement endiguer cette pandémie qui s’attaque directement au cerveau ? N’est-il pas déjà trop tard ?

    Allez !  Soufflons un peu !  Rassurons-nous! La Terre est ronde, bien ronde, et tourne autour de la grosse boule lumineuse qu’est le soleil, entraînant dans sa ronde  cette Lune dont de nombreux dessinateurs de talent nous ont rendu ô combien sympathique la petite bouille ronde.

    Merci à Filipe de nous avoir offert ces photos fleurant bon l’imaginaire. Elles m’auront permis de prendre de la hauteur.

     

     

    Réponses au questionnaire : mercredi 10 mars  .


  • Commentaires

    1
    Nicolas lescouarch
    Lundi 8 Mars 2021 à 21:51
    Merci beaucoup Claude. Et pour clore ce débat j ai appelé Jean Pierre rougié. Des que j ai eu vent de cette rumeur . Il n y a aucune ambiguïté. Bien qu appartenant à un " camp" différents , il a toute mon estime et ma sympathie.
    2
    S. Le Pivaing
    Mardi 9 Mars 2021 à 08:50

    Nicolas tu pourrais nous expliquer les raisons de ton renoncement. Toi qui as toujours rêvé d'être au conseil et après moult tentatives tu es élu en mars 2020 avec cerise sur le gâteau une place d'adjoint au maire. La raison professionnelle ne semble pas tenir la route surtout quant on entend certains de tes ex-colistiers qui ne sont pas tendre avec toi!!!!!

    Amicalement.

      • Anne Le Coq
        Mercredi 10 Mars 2021 à 10:40

        Bonjour, Nicolas a fait un choix personnel qu'il ne nous appartient pas de commenter. Sa décision n'entame en rien l'amitié qui nous lie depuis plus de 20 ans. Nicolas a été très efficace dans les missions qui lui ont été confiées en 2020, que ce soit au CCAS, au camping municipal, ou auprès des associations. Merci Nicolas

    3
    Fabienne
    Mardi 9 Mars 2021 à 13:51
    Pour votre information Nicolas Lescouarch est toujours là avec nous, nous soutient et comme vous le savez "l ' Amitié est un joyau, dont le cœur est l' Écrin ".
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