• Le jour où Marion...

    Le jour où Marion...

    Désolé ! On s’y prend un peu tard, mais, à notre corps défendant, nous venons tout juste d’en être informés. Si vous ne savez pas quoi faire ce soir, ne perdez pas une seconde pour réserver votre place au P’tit bar ! Marion, Marion Cousineau, va s’y produire, ce samedi 16 décembre à 21h30. Attention ! La précision s’impose. Le P’tit Bar, ce n’est pas La Cambuse. Le P’tit Bar c’est un bistrot de Montréal. Montréal au Québec. Autant dire que ce n’est pas la porte à côté. Entre la préparation de la valise, l’achat du billet d’avion et le trajet à l’aéroport, il faut un certain temps. Certes, vous avez une certaine marge de manœuvre compte tenu du décalage horaire, puisque entre La Cambuse et Le P’tit Bar il faut compter six heures, à quelques secondes près. Donc quand il sera 21h30 ici, il ne sera que 15h30 à Montréal. Six heures de rab ! Ça peut peut-être suffire.

    Bon ! OK ! C’est risqué, mais si l’envie vous tenaille d’applaudir une nouvelle fois Marion, sachez qu’elle sera à L’Escalier, le mercredi 27 décembre, un autre café concert de  Montréal. Là, ce sont peut-être les excès du réveillon qui vous empêcheront de faire fissa. Il ne vous restera plus alors qu’une solution : attendre le jeudi 11 janvier. Marion sera sur scène, au Bistro Culturel au cœur du village Saint-Isidore-de-Laprairie, une localité située à une quarantaine de kilomètres au sud-ouest de Montréal (Situtaion: étoile rouge 221 sur la carte ci-dessous)

    A compter de cette date, Marion rentrera en hibernation. Dieu sait qu’au Québec les hivers peuvent être longs. Mais hibernation doit être pris dans le sens du temps de réflexion que s’accorde tout artiste soucieux de construire un répertoire de qualité. Il faut travailler de nouveaux textes, sur de nouvelles musiques.

    C’est ce que Marion va faire. Elle nous en a informés par courriel. Un mail qui, soit dit en passant, nous a fichu un sacré bourdon. Quand vous avez eu une grand-mère qui ne rêvait qu’à une seule chose, avoir sa cabane au Canada, rêve inabouti, ce n’est pas l’envie qui vous manque de faire un saut au-dessus de l’Atlantique. Au pays des érables ! Ne serait-ce que pour comprendre in situ les raisons qui font que Marion est tombée, à son tour, amoureuse de ce pays. Un pays lointain, mais si proche de nous.

    Pour preuve : la carte que  nous publions ci-dessous ! Vu sous cet, angle, le Saint Laurent a, imagination aidant, un faux air d’estuaire du Trieux, mais c’est d’abord la sonorité des noms des villes qui entourent Montréal qui souligne l’apparentement avec la Belle Province. Des noms bien français. D’ailleurs, il y aurait peut-être matière à recherches pour connaître l’historique de l’île Perrot. Comme on le dit ici, ça c’est un nom bien de chez nous.

    Mais revenons à Marion ! On se doit encore de la remercier de nous avoir fait, en août dernier, un superbe cadeau. Son concert sur la terrasse de La Cambuse est gravé dans les annales du hameau. Nous savons combien Kermouster compte pour elle. Certes, un port d’attache parmi d’autres, mais un port à la source de son inspiration. Alors, à défaut de ne pas pouvoir pousser la porte du P’tit Bar, on tenait, en votre nom, à lui dire qu’ici on n’a pas oublié ce jour où elle nous a enchanté. Ici, on attend, non sans impatience, que les volets de La Cambuse rouvrent  à nouveau. Ils rouvriront et, nous en sommes convaincus, Marion repassera par là.

     

    Pour garder le contact avec Marion 

    https://fr-fr.facebook.com/MarionCousineauChanson

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