• On en voit déjà de toutes les couleurs

    Nettoyage, débroussaillage, dépoussiérage ; en l’espace d’une quinzaine de jours les Kermoustériens, par petits groupes d’intervention, ont récupéré sur les grèves le gros des détritus, rendu les chemins creux propices à la balade et redonné du lustre à la chapelle. Voici le hameau en état d’affronter le flot touristique de l’été. Des visiteurs qui sauront, sans nul doute, apprécier le point d’honneur que l’on met, également ici, à donner de l’éclat à la commune.

    Alors que les roses trémières se dressent dans leur superbe, à l’aplomb des  murets, les fleurs d’escholtzia, de bourrache, de malope, de centaurée barbeau, de coquelicot ont jailli dans les champs et jardins pour compléter une offre picturale  déjà riche du jaune, bleu-violet et autres nuances  de la sauge, des hortensias et du  millepertuis. Ces parcelles de terre dédiées aux papavéracées, malvacées, astéracées  et autres renonculacées captivent le regard. On comprend mieux ce qui a conduit Claude Monet à coucher sur la toile ses fameux Coquelicots.

    La nature, on ne le dira jamais assez, est un musée à ciel ouvert. Alors que les agapanthes ne demandent qu’à étaler leur teinte bleue azur, Kermouster, c’est peu de le dire, nous en fait déjà voir de toutes les couleurs.

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    Première exposition, double regard

     

    De la couleur, il va en être question tout au long de l’été sous une autre forme,  puisque la salle d’exposition affiche, une nouvelle fois, complet. Les artistes peintres vont se succéder au fil des semaines, souvent en associant un autre regard, celui d’un photographe.

     C’est présentement le cas avec Armelle Lecoq et Sylvain Le Coq qui exposent jusque ce dimanche 2 juillet. Mari et femme, ces deux ex-enseignants ont choisi de signer différemment leurs œuvres en jouant de cette subtilité sémantique. Ce n’est pas la première fois qu’ils accrochent leurs tableaux aux cimaises de cette salle.

    Ils y viennent en voisins puisqu’ils ont demeure à Plourivo. On les connaît déjà, aussi, sous les noms de Pablo & Sidonie. Lui, il joue du violoncelle, elle, elle chante. Le jeudi 20 juillet (18h) ils se produiront à nouveau à La Cambuse. Avec un nouveau répertoire, nourri par celui de Michel Berger. 

    On en voit déjà de toutes les couleurs

     

    Par la photographie, Armelle Lecoq scrute les épaves pour en extraire les détails qui vont restituer sur des panneaux composites aluminium (procédé Dibond) les impressions d’usure et de rouille captées au gré de ses focales. Sylvain Le Coql cherche, par l’acrylique, à traduire, sur le carton et sur la toile,  ses propres états d’âmes, loin du figuratif donc.

    Il y a trois ans, Sylvain Le Coq nous confiait que cette reconversion par la peinture était en quelque sorte une thérapie. Ces mois derniers, il a orienté son travail sur le thème du labyrinthe. Une nouvelle recherche sur lui-même ?  N’éprouve-t-on pas nous-mêmes, parfois, face à la complexité de la vie,  ce sentiment du Minotaure piégé dans le Labyrinthe conçu par Dédale ? La peinture offre à l’artiste la possibilité de trouver son propre fil d’Ariane. L’angle d’attaque est intéressant.

     

    Le nombre d’or

     

    On en voit déjà de toutes les couleurs

    Incontestablement, il y a matière à satisfaire le regard à travers cette exposition. Mais, selon nous, ces artistes, comme ceux qui leur succéderont, gagneraient en lisibilité  en respectant  le « nombre d’or », c'est-à-dire les règles qui prévalent quand il s’agit de quantifier le beau. Ce qui est valable pour un tableau l’est aussi pour le hall d’exposition. A trop vouloir prouver, on peut brouiller le message, en réduire l’impact.

    Les volumes de cette petite classe d’école devenue salle d’exposition ne se prêtent guère à un trop grand nombre de tableaux. Ceci s’avère d’autant plus vrai quand il s’agit d’une exposition associant deux approches. D’accord, les conseilleurs ne sont pas les payeurs et nous comprenons fort bien le désir de vendre, mais, répétons nous, il nous paraît judicieux de vouloir ravir l’œil d’emblée, dès le franchissement de la porte.

     

     


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  • Pour cette nouvelle saison musicale, six concerts sont au programme de l'été. Musique bretonne, chants du Moyen Âge et de la Renaissance, chansons à texte...

     

    Mardi 18 juillet :Sur le chemin du sonneur avec Jean Baron

     

    Chapelle: les concerts de l'été

    On ne présente plus Jean Baron. Sa réputation de sonneur n’est plus à faire. Le 18 juillet prochain (21 h) , accompagné par la harpiste Sophie Pagnon, il se produira dans la chapelle de Kermouster. Ce n’est pas la première fois que son « chemin » (titre d’un livre autobiographique) le pousse vers ce hameau niché au-dessus de l’estuaire. Au programme : chants du pays Gallo, musiques de Bretagne et des pays celtiques (Irlande, Ecosse, Ile de Man). Libre participation.

     Jean Baron a en effet écrit son autobiographie, éditée à compte d’auteur (Les chemins de sonneur). Le deuxième tome a été récemment publié.

     

    Vendredi 21 juillet :« Ménestrelle » avec Jeanne-Marie Gilbert

    Chapelle: les concerts de l'été

    Jeanne-Marie Gilbert revient en Presqu’île. Après s’être produite les années passées à Lanmodez (chapelle de Kermassac’h, elle a choisi de faire revivre l’art du chant traditionnel  à Kermouster (chapelle Saint Maudez), le vendredi 21 juillet.(21 h).  Jeanne-Marie Gilbert s’accompagne au luth, à la guiterne et à la vièle. Libre participation

    Son programme se compose de chansons mariales médiévales, psaumes et chansons spirituelles de la Renaissance et d’airs profanes chantés dans les cours. Ces textes et musiques composés par des artistes de France, d’Espagne ou d’Angleterre, des XIIIème au XVIIe siècle, invitent à un voyage rempli de poésie, de douceur et d’harmonie. Ils ont su à travers les siècles rester étonnamment vivants.

    Le thème du concert « Ménestrelle » sera orienté autour des "portraits de femmes".

    Pour en savoir plus :http://www.volutes.net          

     

     

    Vendredi 28 juillet: « Exatonie » avec Christian Le Délézir

     

    Chapelle: les concerts de l'été

    Ne cherchez pas sur une mappemonde ! Vous n’y trouverez pas le pays de l’Exotanie. Ce pays sort tout droit de l’imaginaire de Christian Le Délézir. Vous trouverez tout ce qu’il convient de savoir sur ce musicien, flûtiste, pîaniste, improvisateur et compositeur, en consultant son site Internet.

     En nous invitant à pénétrer dans son « utopie musicale », Christian Le Délézir  nous entraîne dans la conquête « des sphères inexplorées de l’Exophonie », un concept musical de sa composition. Durée du récital, environ 1h20. Entrée 12 euros, 8 euros réduit, gratuit pour les enfants de moins de 12 ans.

     Pour en savoir plus http://www.christianledelezir.com

     

     Vendredi 4 août :Lily Dardenne de retour en Presqu’île

     

     Chapelle: les concerts de l'été

    Après avoir fait une tournée de vingt concerts l’été dernier, dont un en juillet dernier en l’église Saint-Jean Baptiste de Lézardrieux, la chanteuse lyrique d’origine belge mais de sang breton, Lily Dardenne revient en Presqu’Île. Cette année, elle se produira le vendredi 4 août, dans la chapelle de Kermouster.

     Son programme revisite les textes de Gorges Brassens en leur donnant une touche celtique voire médiévale. C’est sur le registre des chansons à textes que cette soprano poursuit une carrière qui a débuté comme chanteuse lyrique. 

     Pour en savoir plus :  https://dardenne.wixsite.com/dardenne

     

     Jeudi 10 août : Nouveau récital de H.Robert

     

    Chapelle: les concerts de l'été

    H.Robert est un habitué des lieux. Il a déjà eu l’occasion (l’été dernier) de se produire à Kermouster, en la chapelle. Il revient avec un nouveau programme intitulé « poétiquement incorrect ». En fait, il s’agit d’un récital de chansons dans lesquelles s’exprime un humanisme poétique. Auteur compositeur, H.Robert aime à se situer dans la filiation de Ferrat, Brassens et Souchon entre autres. Le concert est donné en libre participation.

    Pour en savoir plus :  http://www.hrobertchansons.c

     

    Jeudi 17 août :Malo chante Brassens

     

    Chapelle: les concerts de l'été

     Malo est un groupe musical créé par un auteur-compositeur, Jérôme Arnould, qui voue une admiration sans borne à Georges Brassens. Comme on peut le lire sur le site de ce groupe: « Brassens c’est l’homme de ma vie. Brassens c’est l’homme au-dessus des autres, la perfection du genre chansons. La classe. L’humour. » Accompagné par  Margaux (violon et chant), Dylan (clarinette) et Olivia (Contrebasse) , Jérôme Arnould a conçu un programme hommage  A noter que Jérôme Arnould est l’auteur d’une thèse « Brassens et la Camarde ». Entrée : 10€. 

     Pour en savoir plus : http://malomusic.free.fr

     

      

     

     


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  • Capeau l'artiste!

     Le chnteur poète Gérard Pierron à la Cambuse, accompagné par l'accordéoniste Ptrick Fournier

    « Fragilité, source de poésie, de tendresse et de profondeur ». C’est gageure que de vouloir se définir soi-même devant un auditoire que l’on a cherché à convaincre. Mais rassurez vous, Monsieur ! Quand vous avez prononcé ces mots à l’issue de votre tour de chant, la vingtaine de personnes venues vous entendre n’y a trouvé rien à redire. Ces mots sonnaient justes. Point de fausse modestie sous-jacente. Tout au plus une tentative d’explication pour excuser les quelques scories qui ont pu peser sur la nécessaire concentration. Comme si vous pouviez être tenu pour responsable des bruits de comptoir et de l’effet Larsen ! La Cambuse a du charme, mais il faut faire avec les us et coutumes et les contraintes des murs.  Le retour micro n’y est pas toujours du meilleur cru.

    Oui, Monsieur, votre fragilité est bien réelle, mais ô combien source de talent.  Poète vous l’êtes et la tendresse vous colle à la peau. Quant à la profondeur, nous l’avons ressentie tout au long de cette soirée, ce jeudi 8 juin. Tout au plus, étions nous en droit de nous étonner d’apprendre qu’un artiste de votre trempe puisse avoir jeté son dévolu sur ce troquet du bout du monde. C’est peut-être mal vous connaître !

    Capeau l'artiste!

    A en croire vos amis paimpolais qui, en avril dernier, vous ont fait découvrir Kermouster et son panorama, vous avez pris d’emblée la décision d’y revenir pour chanter. Vous vous êtes trouvé immédiatement en phase avec l’esprit des lieux. Et c’est une bien grande satisfaction que d’avoir pu vous découvrir, Monsieur, vous qui collectionnez les enregistrements de CD et les prix de l’Académie Charles Cros

    Vous êtes de la race des sculpteurs d’alexandrins et d’octosyllabes, même si votre qualité première est de savoir les mettre en musique. Avec Patrick Fournier vous avez trouvé, en cela, un bon compagnon de route. Son accordéon est au diapason de la sonorité des textes.

    Pour nous, ce fut donc une découverte. Nous ignorions votre existence jusqu’à ce jour. Faute assurément de n’avoir pas su tourner la page  après avoir connu l’âge d’or de la chanson à texte! Georges Brassens, Jacques Brel, Serge Reggiani, Boris Vian, Barbara, Félix Leclerc, Georges Moustaki et tant d’autres, que de bons souvenirs enfouis au Panthéon de la culture l. C’est peut-être faire injure à celles et à ceux qui ont, comme vous, dans leur sillage, œuvré pour maintenir à flot la belle chanson, mais on a l’âge de ses artères et le cœur reste souvent fidèle à ses seuls premiers amours.

    Mais c’est une chance d’avoir pu être là, ce jeudi soir. Que dis-je ! Une double, une triple, une quadruple, une quintuple chance. Car vous n’êtes pas venu seul. Vous nous avez révélé des auteurs dont nous ignorions tout, ce qui, comme vous pouvez le supposer, ajoute à notre confusion. A La Cambuse vous nous avez fait, notamment, apprécier les poèmes de Gaston Couté (1890-1911), dont la route aura croisé celle de Théodore Botrel, mais qui, lui, se sera engouffré dans le courant libertaire, sans renier ses racines et le patois de la Beauce. Libertaire, Eugène Bizeau (1883-1989) l’a été aussi Il était poète et vigneron. On n’aura jamais autant chanté les vertus et les maléfices du vin que ce soir là à La Cambuse. Eugène Bizeau avait 103 ans quand, en 1986, vous avez reçu le prix Charles Cros pour votre spectacle ‘Les cent printemps des poètes » que vous avez créé, au Printemps de Bourges, autour de ses poèmes, avec d’autres amis compositeurs.

     Libertaire, vous l’êtes  vous-même assurément. On n’épouse pas une telle prose sans s’en imprégner. Même si comparaison n’est pas raison, j’ai cru, par instants, revoir en vous le Léo Ferré des poètes « maudits ». Son ombre semblait se détacher sur le mur de l’arrière salle du bistrot. Mais ce n’était qu’illusion !  Oui, bien sûr, votre gestuelle vous est propre ! Vous n’imitez pas ! Votre manière d’être est empreinte d’authenticité. Mais qu’y puis-je si je vous trouve une ressemblance ?

    Capeau l'artiste!

     

      Vous êtes né à Thouars, dans les deux Sèvres. Votre port d’escale (Les Rairies) est dans le Val d’Anjou, à quelques encablures de la Loire, et c’est sur mer que vous avez d’abord cherché à vous construire. Sur les navires de la Havraise Péninsulaire. Je précise car ici nous sommes en terre de marins et le nom de cette compagnie est inscrit dans les gènes. Aussi comment ne pas s’interroger ? Qu’est-ce qui fait qu’un électricien de bord en soit venu à chausser les souliers du saltimbanque ? Votre réponse tient en un mot : la passion. Celle des beaux textes. Votre don inné de musicien,  que vous découvrez presque à votre insu, vous y a poussé. Il vous fallait mettre sac à terre.

    Il est possible que, lors de votre première escale à Kermouster, en avril dernier,  vous ayez ressenti à nouveau un besoin de mer en regardant vers Bréhat. « Raconte moi la mer, dis moi le bruits des vagues » a chanté Jean Ferrat. Ce grand large qui fait tant rêver aura été aussi source d’inspiration pour un artiste un peu plus jeune que vous, dont vous aurez su déceler, tout comme Jean Ferrat d’ailleurs, mais avant bien d’autres, l’extrême sensibilité. A La Cambuse, vous lui avez rendu implicitement hommage en interprétant quelques unes de ses chansons dont vous avez écrit la mélodie. Cet artiste, c’est Allain Leprest (1954-2011). Lui aussi a marqué son temps. Les quinquas quadras sont mieux à même que moi pour en parler. Question de génération?

    Anecdote croustillante, que vous nous avez révélée concernant ce rêveur aux « deux chansons par jour », qui aimait fixer l’éphémère en dessinant sur un coin de table. Alors qu’il se trouvait chez vous, aux Rairies, il avait écrit au dos de cinq ou six tickets de caisse les paroles d’une chanson que ses admirateurs ont bien en tête. « La chanson qui chavire ». Il y est question de chalutier, de Saint-Nazaire. « La mer, la mer, toujours recommencée ! » a écrit Paul Valéry.

    Voilà ce qu’il convenait de vous dire, Monsieur Gérard Pierron. Pour vous remercier d’avoir su nous faire naviguer sur l’océan des mots. Repasserez vous par là après avoir battu l’estrade sous d’autres cieux ?

    Vous n’êtes pas sans savoir qu’un certain Georges Brassens a jeté l’ancre dans le Trieux. Ce jeudi 8 juin, à La Cambuse, nous n’étions qu’une petite vingtaine.  Je suis persuadé que vous pourriez remplir la grande salle de Lézardrieux que l’on a dédiée à ce chanteur poète qui repose désormais sur les hauteurs du port de Sète. Sûr que ce soir là, vous nous ramèneriez à la belle époque de Bobino, auquel Brassens a donné toutes ses lettres de noblesse.. Au pays de la boule bretonne, il serait bon qu’un plus large public vous entende déclamer  ce magnifique poème qui rend hommage à la « boule de fort », un jeu traditionnel du Val de Loire. Preuve s’il en est que la poésie n’est que reflet de la vie.  Vous en êtes un grand témoin. Chapeau l’artiste !

     

    Capeau l'artiste!

      Dessin d'Allain Leprest, extrait d'un livre conçu pour l'exposition "Couleur Leprest".


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  • Ce problème endémique du stationnement

     

                                                                                                                    (D'après Uderzo

    Kermouster souffre d’un mal endémique : le stationnement. Souvenons-nous ! L'an passé, le hameau a frisé l’asphyxie le jour du « vide greniers ». L’autre jour, à l’occasion du concert donné sur la terrasse de La Cambuse, dans le cadre du festival Trieux Tonic Blues, la place du Crec’h avait l’allure de la place de la Concorde à l’heure de pointe.

    La concorde, un mot qu’il convient de méditer alors que, l’été montrant le bout de son nez,  ressurgit avec acuité ce problème qui, disons le tout net, est quasi insoluble. La configuration de Kermouster est telle qu’il est vain de penser le régler une bonne fois pour toute. Sauf, bien sûr, à envisager de consacrer un champ au parcage des  voitures! Mais ce serait comme si le ciel tombait sur la tête des résidents de ce village.

    Reste quand même cette question ô combien sensible du parking de l’île à Bois qui doit, pour diverses raisons, rester accessible à tous. La municipalité a cru bien faire en installant un système filtrant avec des grosses pierres. Certes, le nombre de camping-cars pouvant y prendre place est ramené à un seuil d’équilibre, du moins quand la pression ne s’exerce pas par force 9. Ainsi, le week-end de l’Ascension, automobilistes et camping caristes n’ont pas su ou pu trouver, par eux-mêmes, ce fameux point d’équilibre. Il y a fort à parier que cela relève de la quadrature du cercle, panneaux dissuasifs ou non.

    Au risque de véhiculer à nouveau l’image du village gaulois, nous sommes au regret d’avoir à dire à nos élus que la potion n’a pas eu la magie espérée. Nous n’avons pas trouvé un Kermoustérien pour approuver la mise en place de cette barrière rocheuse, à laquelle on reproche aussi son manque d’esthétisme. Bref ! Il faudra peut-être se pencher à nouveau sur ce problème.

     Convenons en ! Ce lieu de stationnement a une capacité d’absorption limitée. C’est une contrainte qui s’impose à tous. On ne peut reprocher à la municipalité d’avoir pris une initiative. Mais convenons en également ! Celui ou celle qui a en tête "La Solution" ne s’est pas encore fait connaître. Pourvu qu'il (ou elle) soit né(e)!


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