• Taille des coquillages, des poissons et des crustacés ; L’association des pêcheurs plaisanciers du Trieux-Lézardrieux entend sensibiliser tous ceux qui aiment récolter les fruits de la mer pour leur seul plaisir. Pour ce faire, deux panneaux d’information ont été fabriqués. L’un est installé à Lézardrieux même, l’autre va l’être incessamment sous peu sur le parking de l’île à Bois. En quelque sorte, il s’agit d’un appel au « civisme ». L’idée que la ressource halieutique n’est plus en très grande forme est désormais largement partagée, mais il faut encore convaincre. Tous les efforts allant vers une meilleure préservation de cette ressource se doivent d’être compris.

    Cela dit, cette initiative nous amène à poser le problème global  de l’aménagement  du parking de l’île à Bois. La saison estivale approche, même si les caprices du ciel n’en finissent pas de nous faire douter. Quitte à y ajouter un panneau, il conviendrait de repenser l’organisation de toute la partie réservée aux services sanitaires pour gommer l’aspect dépotoir quand il y a surabondance. « Il faudrait mettre une palissade pour masquer les poubelles » ; « Une poubelle pour les bouteilles en plastique ne serait pas du superflu ». Ces suggestions émises l’an passé, à la fin de l’été, par des Kermoustériens  méritent d’être soupesées à l’aune de l’efficacité. Cela revient sans nul doute à résoudre la quadrature du cercle : mettre en place un nombre suffisant de poubellesi pour répondre efficacement aux besoins, tout en masquant au mieux l’impact visuel, sans pour autant compliquer la tâche des éboueurs. Il se dit que la municipalité réfléchit au problème. Si tel est le cas, il serait souhaitable qu’il y ait une coordination entre l’association des pêcheurs plaisanciers et les services techniques  pour faire en sorte que la nécessaire information soit organisée de façon rationnelle  avec un brin d’esthétisme.

    Repenser l'aménagement du parking de l'île à Bois


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  • Une journée sans nuage. Ce samedi 23 mars on a failli croire à l’arrivée du printemps. Le soleil a brillé du matin jusqu’au soir, mais la grisaille du dimanche a tué dans l’œuf l’illusion d’un retour de la douceur. Le printemps ce sera….pour plus tard. A vrai dire, quand les bernaches cravant  auront déserté le slikke de l’estuaire sur lequel elles ont, plusieurs mois durant, fait le plein de zostères. L’estran de l’estuaire du Trieux, comme une grande partie du rivage de la baie de Saint-Brieuc constitue un lieu  propice pour ces oiseaux marins végétariens qui, indéniablement, apprécient la fraicheur. Ces petites oies au plumage sombre, qui nous font l’honneur de venir cacarder chaque année durant l’automne et l’hiver dans les parages de l’île à Bois,  vont aller passer l’été dans les toundras maritimes de la Sibérie, où elles vont se reproduire. Sachons apprécier les derniers « rok rok keuk keuk » de l’année! Malgré notre impatience, nous savons bien que le jour viendra où l’on entendra trisser la première hirondelle.

    Les bernaches cravant ne font pas le printemps

    Les bernaches cravant ne font pas le printemps

    Les bernaches cravant ne font pas le printemps


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  • Le spectacle n’aura duré que quelques minutes, ce mardi 19 mars, en fin d’après-midi. A l’heure du thé, si chère à nos amis d’Outre-Manche, un arc-en-ciel s’est inscrit au-dessus de l’estuaire, réfractant dans une courbe nette et franche tout le spectre des sept couleurs de la lumière. A chacun sa façon de décrypter les « messages » du ciel. Pour notre part, à travers ces quelques instants de toute beauté, nous  avons voulu voir la confirmation que Kermouster, symbolisé ici par sa chapelle, est bel et bien terre de couleurs. Bien évidemment, les peintres qui ont posé leur chevalet sur cette terre ont su aller au-delà de la classification d’Isaac Newton. Du rouge au violet en passant par l’orange, le jaune, le vert, le bleu et l’indigo, la palette des nuances est beaucoup plus large. Ce cliché ne pouvait (hélas !) prétendre en révéler toute l’amplitude.

     

    La couleur sied à Kermouster


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  • Dès les premières heures de la matinée, ce mardi, la société Armor Jardin était à pied d'oeuvre pour engager les travaux de débitage du pin maritime qui entrave, depuis la veille, l'accès à l'île à Bois. Il faudra plusieurs heures à Loïc Guillou, patron de cette société paysagiste,  et ses compagnons pour arriver à dégager totalement la route, car cet arbre  vénérable, "le plus beau du site, est un gros morceau" aux dires de notre conseiller municipal. Fort heureusement, en dehors des désagréments que cet événement fait subir aux Kermoustériens vivant du côté mer, l'obstacle n'a pas réellement d'incidence sur la circulation, l'accès au parking restant libre.

    Un "gros morceau" pour Armor Jardin

    Un "gros morceau" pour Armor Jardin

    Un "gros morceau" pour Armor Jardin

    Un "gros morceau" pour Armor Jardin

    Un "gros morceau" pour Armor Jardin

    Un "gros morceau" pour Armor Jardin


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  • Sous les coups de boutoir d'un vent de nord-est, qui a soufflé tout au long de ce lundi 11 mars, le plus gros des pins qui surplombent le parking de l'île à bois s'est couché, en fin d'après-midi, en travers de la route qui mène à l'île.  La zone du sinistre a tout de suite été sécurisée par les pompiers.

    Un pin de l'île à Bois déraciné par le vent.

    Un pin de l'île à Bois déraciné par le vent.

    Un pin de l'île à Bois déraciné par le vent.

    Un pin de l'île à Bois déraciné par le vent.


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